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Archive for the ‘Efficacité énergétique’ Category

Etude IFOP sous le patronage de Legrand sur
l’efficacité énergetique et les comportements au travail

  • L’étude Legrand-IFOP sur « les comportements au travail et l’efficacité énergétique » réalisée en mai 2010 auprès d’un échantillon de 401 dirigeants et de 802 salariés du secteur tertiaire public et privé, révèle que la dimension financière intervient comme principale motivation chez les dirigeants (65 %) comme chez les salariés (60 %). Si l’exemplarité et la dimension éthique de l’entreprise apparaissent en deuxième (31 % des dirigeants et 25 % des salariés) et troisième positions (25 % des dirigeants et 31 % des salariés), ces résultats confirment que les entreprises sont pleinement conscientes des retours sur investissements générés par les actions en faveur de l’efficacité énergétique. Legrand répond pleinement à ces motivations et propose des solutions qui permettent de faire des économies sur la consommation énergétique des bâtiments.

    Télécharger le communiqué de l’étude (Word)

  • Voir toutes les solutions économies durables

  • Table ronde sur l’efficacité énergétique

    Étude IFOP 

    legrand et ifop

    47% des dirigeants considèrent que limiter la consommation d’énergie est la mesure la plus importante pour préserver l’environnement.

    Parmis les mesures suivantes,
    quelle est celle qui vous semble la plus importante à mener dans une entreprise comme la vôtre pour préserver l’environnement ?

    legende statistiques ifop

    Limiter la consomation d’énergie (électricité, gaz, chauffage, ampoule à basse consommation, … )

    statistiques ifop

    Limiter la consommation de matières premières et de certains équipements (eau, papier, impressions couleur, gobelets plastique, … )

    statistiques ifop

    Pratiquer le tri sélectif

    statistiques ifop

    40% des dirigeants de bâtiments BBC considèrent que l’installation de prises programmables fait partie des chantiers prioritaires.

      Parmis les dirigeants d’entreprise occupant un bâtiment BBC, les deux chantiers prioritaires qui suivent l’intégration des ampoulrs basse consommation sont : 

      La programmation des prises de courant pour couper les imprimantes, les cafetières et les machines en dehors des horaires d’ouverture de l’entreprise.

    statistiques ifop

      La mise en place d’un système d’allumage et d’extinction automatique de l’éclairage.

    statistiques ifop

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En moins de 3 mois, la suite logicielle de simulation architecturale Archiwizard, commercialisée par le toulousain Raycreatis, a remporté trois prix d’envergure. Ses concepteurs prévoient pour l’année à venir de développer la commercialisation à l’international et d’étendre leur offre. Ils visent le million d’euros de chiffre d’affaires en 2011.

En septembre, Archiwizard, simulateur en trois dimensions et en temps réel de l’impact énergétique des divers choix architecturaux sur les bâtiments, remportait le prix Service au salon Main d’œuvre de Lyon pour son caractère innovant. Deux mois plus tard, la suite logicielle obtenait le prix de la Croissance verte numérique décerné par l’Etat, les entreprises (Medef, Syntec informatique…), des chercheurs, des acteurs de l’innovation et l’Acidd (Association information pour le développement durable). Un prix qui récompense les entreprises dans le domaine des éco-technologies pour un développement particulier. « Cette distinction a récompensé la croissance de notre chiffre d’affaires qui est passé de 90 000 € en 2009 à 650 000 € en 2010 » explique Régis Lecussan, directeur de Raycreatis.

En novembre toujours, c’est en présence de la ministre Nathalie Kosciusko Morizet, qu’Archiwizard s’est vu décerner la mention spéciale aux Prix entreprises et environnement, catégorie « Innovation dans les éco-technologies », organisé notamment par l’Ademe.

Chez Raycréatis, on se félicite évidemment de ces succès : « Archiwizard est une vraie bête à concours » s’amuse le directeur de l’entreprise. Après à peine 1 an de commercialisation, le simulateur a presque atteint les objectifs fixés par ses concepteurs. « Nous nous étions fixé un chiffre d’affaires légèrement supérieur, reconnaît Régis Lecussan, mais ce n’est pas si mal au regard de la conjoncture compliquée et notamment des reports de l’application du Grenelle de l’environnement en matière de thermique des bâtiments. » Si les industriels et les bureaux d’étude ont immédiatement adhéré au logiciel, c’est encore loin d’être le cas pour la troisième cible d’Archiwizard, les architectes. L’un des chantiers de l’entreprise pour les mois à venir va donc être de les sensibiliser aux évolutions réglementaires qui devraient prendre effet dans les prochains mois.

L’entreprise vise pour 2011 le million d’euros de chiffre d’affaires et ambitionne de se développer à l’international. Tout d’abord en Europe où Raycréatis est déjà partenaire, pour l’Allemagne et l’Espagne, du groupe Hydro Building Systems. Les premières licences devraient être commercialisées dès le mois de janvier. L’Angleterre pourrait être la cible suivante. Pour son expansion dans le reste du monde, Raycréatis est partenaire de l’américain Autodesk, leader mondial du logiciel de dessin pour architectes, et de l’allemand Nemetschek , leader européen. « Nous espérons réaliser 20 % de notre activité à l’international », précise Régis Lecussan. Un objectif presque déjà atteint grâce aux 500 licences déjà achetées pour l’Allemagne.

Autre chantier d’envergure, le lancement à la fin du premier trimestre 2011 de la version 2 d’Archiwizard. « Nous l’avons adapté à la nouvelle réglementation et relooké en fonction des retours d’expérience de nos clients pour que notre produit réponde plus directement aux attentes des architectes » note Régis Lecussan. Deux autres logiciels, Archiwizard RT 2012 et Archiwizard Expert, présentés respectivement à la fin du premier trimestre 2011 et lors du prochain salon Bâtimat de novembre 2011, viendront compléter l’offre de Raycréatis.

De dix en 2009, l’entreprise a atteint les 17 salariés cette année. Deux autres, dont un ingénieur commercial, vont être recrutés en 2011. Ses dirigeants sont également en discussion avec un architecte pour la construction de nouveaux bureaux sur l’éco quartier d’Andromède. Livraison attendue pour 2012.

Marie Grivot

• En savoir plus :

www.raycreatis.com

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Une coopération franco-japonaise a été signée le 2 décembre à POLLUTEC pour réaliser sur le quartier Confluence, à Lyon, une expérimentation sur l’eficacité énergétique.  

Le  NEDO (New Energy and Industrial Technology Development Organization, agence gouvernementale japonaise) et le Grand Lyon ont signé le protocole d’accord mis en place le 18 octobre dernier, lors de la visite de la délégation officielle de Lyon à Tokyo. Le protocole d’accord prévoit   autour du projet urbain Lyon-Confluence, une plateforme expérimentale unique en Europe. L’expérimentation sera organisée sur cinq ans trois thèmes : gestion dynamique des bâtiments, gestion de la charge d’une flotte de véhicules électriques à partir de l’énergie photovoltaïque, et gestion énergétique à l’échelle d’un quartier, soit la création d’un modèle de collectivité énergétique intelligente (smart grid).  Ce projet s’intègre dans la coopération entre le NEDO et l’ADEME (Agence de l’Environnement et de la Maîtrise de l’Energie).

Une consultation sera lancée sur le pôle P du quartier Confluence,  pour créer un îlot « démonstrateur »de bureaux, commerces et logements d’un peu plus de 8000 m2. Cet situé à l’angle de la place nautique et du cours Charlemagne,  répondra à un  cahier des charges environnemental de très haut niveau auquel aucun intervenant actuel sur le marché  n’est en mesure de répondre. Le protocole prévoit une collaboration pour concevoir et gérer en autopartage une flotte de véhicules électriques sur le quartier. Enfin, la coopération prévoit  la gestion énergétique à l’échelle d’un quartier, Smart Grid, dans laquelle les Japonais ont une longueur d’avance avec plusieurs sites d’expérimentation « smart grid » au Japon. Depuis l’été 2010  fonctionne  pour cinq ans à Yokohama, jumelée à Lyon, le plus grand démonstrateur de réseau intelligent.

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Anticipant sur les réglementations à venir, les entreprises investissent dans l’amélioration de la performance énergétique de leurs bureaux. Les objectifs sont ambitieux, mais le comportement des usagers freine souvent leur réalisation.
274 kWh par m2 et par an. D’après l’Ademe, c’est en moyenne ce que consomme chaque année l’ensemble des bâtiments de bureaux français. Une efficacité énergétique bien loin des exigences de la future RT 2012, qui entrera en vigueur le 1er juillet prochain pour les bâtiments tertiaires, et qui impose une consommation globale maximale de 50 kwh/m2/an. L’association des Entreprises pour l’Environnement (EpE) a donc crée en 2006 un groupe de travail dédié à cette problématique, et vient de publier un guide à l’attention de ces membres, « Mettre en œuvre et faire vivre l’efficacité énergétique dans les bureaux. »

Rationalisation de l’espace et réduction des consommations

Le parc tertiaire existant représente entre 97 et 98% des bâtiments. Et parmi eux, nombre de passoires énergétiques. Mais avant d’envisager la rénovation thermique, une première réflexion sur l’espace occupé s’impose. C’est du moins l’avis de Rémi Feredj, directeur immobilier de la RATP. « Nos boîtes consomment trop de m2 ! A la RATP, nous avons divisé par deux nos implantations depuis 1990, et ensuite, nous avons mis en place un modèle de gestion énergétique de nos locaux. » Effectivement, ces quinze dernières années, la RATP a progressivement concentré près de 15 000 salariés au sein de trois pôles principaux, et optimisé de 30% le taux d’occupation de ses bureaux. Un gain immédiat en terme de consommation énergétique.

Dans les secteurs où l’activité est décentralisée par nature, notamment celui des banques et assurances, l’amélioration de la performance repose davantage sur la réduction systématique de la consommation. La Société Générale a ainsi élaboré un référentiel « Bâtiments responsables » à l’attention de toutes ses entités. « Nous avons distribué ce guide à vocation pédagogique à tous les responsables d’agences. Dans un premier temps, il s’agissait de créer une série d’indicateurs pour qu’ils puissent mesurer leur propre consommation, puis de leur fournir des informations pour mettre en œuvre une stratégie d’amélioration », explique Jean-Marc Castaignon, directeur immobilier du groupe. « Nous devons aussi capitaliser sur les initiatives locales. Par exemple, le directeur de notre filiale polynésienne est très attaché aux questions environnementales. Il a fait rénover l’isolation thermique de l’agence de Tahiti, et installer des panneaux solaires en toiture, de sorte qu’aujourd’hui, cette agence est autonome en énergie à 93%. »

Comme le souligne Christian Caye, délégué au développement durable chez Vinci, « des solutions techniques existent pour améliorer l’efficacité énergétique des bâtiments existants. Cela relève donc d’une décision managériale. » Et par exemple, de mettre en place un système de gestion automatisé, qui, via de nombreux capteurs, module la consommation selon l’occupation des locaux, le taux de luminosité et la température ambiante.

Résultats du baromètre Novethic/Ademe
Selon l’édition 2010, les promoteurs, foncières et gestionnaires d’actifs immobiliers communiquent de mieux en mieux sur la performance énergétique des bâtiments. Mais l’étude conclut que la notion de « valeur verte » peine encore à être reconnue par les différents métiers de l’immobilier. D’une manière générale, le lien entre performance économique et performance environnementale reste un sujet émergent. Les certifications énergétiques se multiplient mais elles n’ont pas aujourd’hui une valeur de marché…Il n’y a pas encore eu, par exemple, de reventes d’immeubles HQE. Bilan : La « green value » reste encore théorique en France.
L’éco-conception pour les constructions neuves

Ce type de système est d’ailleurs de plus en plus souvent intégré d’office aux bâtiments neufs. « La volonté de réaliser des bâtiments à meilleure performance énergétique est aujourd’hui unanime, explique Christian Caye. Mais cela suppose que les concepteurs, architectes et bureaux d’études, conçoivent des bâtiments modulables qui pourront intégrer les évolutions technologiques, sachant qu’un bâtiment « vit » en moyenne 80 ans. Nous devons imaginer des bâtiments modulables. » Au rang des réalisations récentes les plus performantes, la Tour Granite, premier « immeuble de grande hauteur à haute qualité environnementale », siège social de la Société Générale, consomme aujourd’hui 154 kWh/m2/an, et accueille entre 4100 et 4300 collaborateurs au quotidien. Quant au Hive de Schneider Electric (Hall de l’innovation et Vitrine de l’Energie), il consomme en moyenne 110 kwh/m2/an pour 1700 occupants. Les deux ouvrages, occupés depuis bientôt deux ans, affichent nombre de labels et certifications, et surtout, des objectifs d’amélioration continue ambitieux.

Le comportement des usagers, un facteur déterminant

« Sur un bâtiment à énergie positive, 25% de la performance énergétique dépend du comportement des usagers, précise Christian Caye. Très vite après l’installation dans les locaux, on observe des dérapages dans les comportements. De fait, l’efficacité nominale est différente de l’efficacité réelle. Or, 1°C de chauffage en plus, c’est 7% supplémentaires sur la facture d’électricité. » Pour limiter ces écarts dans les comportements, Schneider Electric a élaboré des solutions techniques de gestion automatisées, et les applique à ses propres bureaux. Gilles Vermot-Desroches, directeur développement durable du groupe, en témoigne. « Il s’agit de pouvoir faire hiberner un bâtiment. Quand nous sortons d’un bureau, au bout de dix minutes, la lumière, la climatisation ou le chauffage s’éteignent, et les stores se baissent si besoin. »

Ces outils d’automatisation, en limitant l’action des usagers, permettent donc d’assurer les objectifs affichés. Et de rassurer les investisseurs (voir article lié). Car même si la certification environnementale des bureaux n’est pas encore valorisée sur le marché immobilier, l’absence de prise en compte de critères environnementaux peut entraîner une perte de valeur.

Anne Farthouat

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Le chauffage représente jusqu’à 69% de votre consommation totale d’énergie dans votre habitation. Ce chiffre nous montre l’importance de la régulation de chauffage quand on sait que le chauffage (69 %) et la production d’eau chaude (10 %) représentent en moyenne 79 % du coût énergétique total d’une habitation. (Source : SOeS d’après CEREN) Nous ne laissons pas notre lumière allumée dans une pièce lorsque nous la quittons, alors coupons également notre chauffage ! Des solutions existent aujourd’hui permettant d’économiser jusqu’à 30% sur votre consommation de chauffage, découvrez les sur www.evohome.fr

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Le collège de Burnhaupt-le-Haut, ouvert l’an dernier : un bâtiment qui consomme peu d’énergie. Archives Denis Sollier 

Le conseil général du Haut-Rhin encourage les collectivités locales à réduire la consommation d’énergie des bâtiments publics, neufs et anciens. Diviser par deux ou par trois la facture d’énergie des collectivités locales, c’est possible, estime-t-on au conseil général du Haut-Rhin. Le directeur de l’architecture du Département, Hermès Stefanelli, et le directeur de l’environnement, Georges Walter, ont expliqué comment s’y prendre aux directeurs généraux, secrétaires de mairie et de structure intercommunale lundi, au collège de Burnhaupt-le-Haut.

Un site, des solutions

La réglementation thermique va changer en 2012. Son objectif : ne pas dépasser 50 kWh/m²/an de consommation d’énergie primaire dans les bâtiments neufs alors qu’actuellement, un bâtiment consomme en moyenne 140 à 180 kWh/m²/an. L’économie d’énergie concerne aussi la rénovation des bâtiments existants : « Cela représente un gros effort par une succession d’interventions. Il faut avant tout se demander de quoi nous avons vraiment besoin », dit Hermès Stefanelli. Les services du conseil général ont expérimenté diverses solutions, en particulier lors de la construction des derniers collèges. Ils se gardent d’apporter des recettes miracles transposables à toutes situations. « Il faut étudier plusieurs solutions, en fonction du site et de l’usage du bâtiment, et avoir une approche globale prenant en compte les coûts de fonctionnement du bâtiment. »

Simulations thermiques

Le recours aux simulations thermiques et à l’assistant à maître d’ouvrage spécialisé en énergie est vivement conseillé : « Il faut être vigilant : tous les architectes ne sont pas formés aux économies d’énergie, tous les bureaux d’études ne se valent pas. Le conseil général apporte son aide aux collectivités locales qui recourent à l’expertise. Celle-ci est rentable à long terme. » Comment obtenir une bonne performance énergétique, tant dans le neuf qu’en rénovation ? En tenant compte avant tout de l’orientation du bâtiment : les apports solaires gratuits sont optimisés par l’emplacement et la surface des baies vitrées, par la pose de triple vitrage en certains cas ; la surchauffe estivale est limitée par des auvents, des débords de toitures. Le bâtiment doit être étanche à l’air par la mise en œuvre de matériaux d’isolation très performants. La ventilation doit être très étudiée : VMC, ventilation nocturne, puits canadien, sonde de CO2 figurent parmi les solutions. Le chauffage est assuré de préférence par des énergies renouvelables (plaquettes bois), des planchers chauffants. Le conseil général prône aussi le recours à l’électronique : « La télégestion des chaufferies des collèges a permis de réaliser de grosses économies. Elle est confiée à un exploitant qui se rémunère sur les économies réalisées. Les luminaires intelligents, qui régulent l’intensité lumineuse en fonction de l’apport extérieur coûtent cher mais sont amortis en 6 ou 7 ans. »

L’éclairage public

Autre source d’économie : la réduction de l’éclairage public avec des intensités variables selon les lieux, des détecteurs de présence. Et, révolution dans le monde de l’épuration : Georges Walter préconise le lagunage, « qui ne mange rien et marche bien ». Dans les stations d’épuration, il conseille de mieux contrôler l’arrivée d’oxygène et de sécher les boues dans des serres plutôt que dans des séchoirs énergivores.

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Scénarios contrastés pour le marché éco efficacité énergétique d’ici 2020
L’étude de prospective à l’horizon 2020 sur l’éco-efficacité énergétique dans le bâtiment réalisée par l’Observatoire national du Bâtiment pour le compte de l’Union des Entreprises de Génie Climatique et Energétique de France montre qu’il faut adopter une certaine prudence face à un marché à plusieurs visages.
Economie d’énergie, développement durable, réglementation thermique, nouvelles technologies, contraintes normatives….Beaucoup de discours autour de ce thème, mais quel marché ? C’est en partie pour répondre à cette question et pour lever les voiles du marché de l’éco-efficacité énergétique, dont l’évolution reste obscure que l’UECF/FFB (6 700 adhérents spécialistes du génie climatique) a fait réaliser par l’ONTSBTP une étude intitulée « éco-efficacité énergétique : prospective bâtiment 2020 ». « La mine d’or, c’est le Grenelle et son impact sur le bâtiment. On recherche où sont les pépites », résume, non sans humour, Jean-François Marty, président de l’UECF. On parle beaucoup d’efficacité énergétique, mais on ne voit pas le marché, ni son évolution possible. Il nous faut poser des bases pour pouvoir dessiner les contours de notre métier d’ici 2020 ».
A partir de groupes de travail réunissant l’ensemble de la filière (installateurs, fabricants, énergéticiens, entreprises de maintenance, distributeurs) et d’entretiens d’experts, l’étude s’appuie sur 6 facteurs moteurs qui conditionnent le futur du marché de l’EEE : le contexte économique, la réglementation du marché de l’énergie, la réglementation thermique, la politique d’incitation gouvernementale, le prix de l’énergie et la position des banques. Exceptée la réglementation thermique, tous les autres facteurs sont variables, et amènent à un paysage incertain car on ne peut pas les maîtriser.
D’où la construction de 6 scénarii, qui ont fait l’objet d’une analyse de leurs conditions d’émergence, de leur déploiement dans le temps, de l’anticipation de leurs impacts possibles sur le marché, les acteurs et les offres. http://bit.ly/bKkox8

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Par Anne Bodescot

Les copropriétaires et les vendeurs de biens immobiliers vont avoir à faire face à de nouvelles obligations. Objectif : tenter de réduire la consommation d’énergie dans les logements.

La loi Grenelle II, adoptée avant l’été, va renforcer les obligations, déjà lourdes, qui pèsent sur les propriétaires de biens immo biliers. L’idée ? Sensibiliser les Français à la consommation d’énergie des logements et les inciter à réaliser les investis sements qui s’imposent. Une communication d’autant plus importante que le coup de pouce financier accordé jusqu’alors – le crédit d’impôt pour le développement durable, qui compensait en partie le coût des travaux d’isolation – devrait faire les frais de la chasse aux niches fiscales. Concrètement, les propriétaires qui souhaitent vendre leur bien doivent tenir à la disposition de tous les candidats acquéreurs un diagnostic de performance énergétique (DPE) établi par un professionnel. Ils étaient déjà obligés de le réaliser et de l’annexer lors de la promesse de vente et de la vente. Ils doivent dorénavant pouvoir le présenter aussi en amont de la vente, si les visiteurs le demandent. En pratique, le DPE ressemble à l’étiquette «énergie» apposée sur les ap pareils électro-ménagers, qui permet de visualiser leur consommation sur une échelle de A à G (A étant le plus performant).
«Ce diagnostic se base à la fois sur une étude de la qualité du logement (épaisseur des murs, qualité des vitrages…) et sur les consommations d’énergie observées, factures à l’appui» explique Philippe Pelletier, avocat et président du comité stratégique du plan bâtiment Grenelle. A partir du 1er janvier 2011, en cas de mise en vente ou en location d’un logement, le classement du bien au regard de la performance énergétique devra même apparaître sur toutes les annonces (y compris celles passées de particulier à particulier), dans les journaux, sur internet, dans les vitrines des agences…

L’objectif du gouvernement est de permettre aux acquéreurs potentiels de prendre prétexte de la consommation d’énergie du logement pour discuter le prix de vente. Ce qui reste assez théorique, en pleine bulle immobilière, dans les zones comme Paris où la demande est très forte. «Mais, dans les régions où le marché im mobilier est moins tendu, cela peut inciter l’acheteur à s’enquérir par exemple des factures de fioul ou d’électricité qu’il aura à régler», avance Philippe Pelletier.
La pression s’accroît aussi sur les copropriétés. A compter du 1er janvier 2012, si l’immeuble (de moins de 50 lots) comporte un chauffage ou une climatisation collectifs, la copro priété disposera d’un délai de cinq ans pour établir un diagnostic de performance énergétique, dans les parties communes. Dans les immeubles de plus de 50 lots (soit 25 à 30 logements en général, pour tenir compte des caves, parkings et autres chambres de bonne), le DPE ne sera pas exigé, mais il faudra faire un audit énergétique, c’est-à-dire un examen plus complet encore.

L’objectif est de faire prendre conscience aux copropriétaires de la situation énergétique de leur immeuble et de mettre en lumière les améliorations à apporter. Rien ne les oblige à les engager, mais, pour ce faire, les règles de majorité ont été assouplies pour toutes les dépenses rela tives aux travaux d’économies d’énergie ou de réduction des gaz à effet de serre. Ils sont soumis désormais à un vote à la majorité défini par l’article 25 de la loi de juillet 1965 (majorité absolue des copropriétaires, présents ou non à l’assemblée). «Le syndic devra en outre proposer à l’ordre du jour de l’assemblée générale la conclusion d’un contrat de performance éner gétique (pour fixer des objectifs de réduction de la consommation d’énergie avec les fournisseurs) ou un plan pluriannuel de travaux», ajoute Philippe Pelletier. Mais les copropriétaires auront fort heureusement le droit de décliner poliment l’invitation. En revanche, le locataire, lui, perd un peu de son libre arbitre. Désormais, il est tenu de laisser exécuter dans son logement les travaux d’amélioration de la performance énergétique, comme c’était déjà le cas pour ceux nécessaires au maintien en état et à l’entretien normal du bien.

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De nombreux présidents ou directeurs développement durable de grands groupes français se sont réunis mercredi 29 septembre pour signer le manifeste du World Business Council for Sustainable Development. Le sujet est de premier ordre, car ces entreprises possèdent plusieurs dizaines de millions de m².

Cet engagement, initié par l’association EpE (Entreprises pour l’Environnement), s’est traduit par la signature du Manifeste pour l’efficacité énergétique des bâtiments du World Business Council for Sustainable Development (WBCSD). Les dirigeants d’Air France, AXA, BeCitizen, BNP Paribas, Caisse des Dépôts, Ciments Calcia, EDF, Eiffage, GDF-Suez, Lafarge, La Poste, RATP, Saint-Gobain, Schneider Electric, Société Générale et Solvay se sont ainsi engagés à définir et mettre en œuvre un programme d’actions concrètes et mesurables pour réduire les consommations d’énergie de leurs bâtiments tertiaires.

La dynamique du Grenelle Environnement

Pour le ministère de l’écologie et du développement durable , « cette démarche illustre la dynamique actuelle du Grenelle Environnement, notamment dans le domaine de l’efficacité énergétique du bâtiment : 130 000 écoprêts à taux zéro accordés, rénovation programmée de 45 000 logements sociaux, très fort développement des « Bâtiments Basse Consommation », retrait de la vente des systèmes d’éclairage les plus consommateurs d’énergie ou encore audit énergétique de tous les bâtiments de l’État ». Selon le gouvernement, cette dynamique devrait encore s’accélère encore par la mise en œuvre des mesures prévues par la loi « Grenelle 2 », adoptée en juillet 2010 : mise en place du Bail Vert, généralisation des contrats de performance énergétique, affichage de la performance énergétique dans les annonces immobilières…

Le World Business Council for Sustainable Development compte parmi ses membres General Motors, 3M, Coca-Cola, Caterpillar, Lafarge ou encore BP. En signant son manifeste,ce mercredi 29 septembre, AXA, la Poste Immo, la RATP et une petite dizaine d’autres entreprises françaises se sont engagées « à déployer, dans les 3 ans, un plan d’actions sur le long terme afin d’optimiser l’efficacité énergétique de leurs bâtiments par des actions concrètes et mesurables ».
En attendant, elles ont profité de cette signature pour exposer les différentes actions entreprises à ce jour, vis-à-vis de leur patrimoine. Ces témoignages ont été l’occasion de mesurer l’engagement encore timide des entreprises dans l’amélioration de l’efficacité énergétique de leur patrimoine. La majorité en est aujourd’hui au stade d’engager ou de mener un audit énergétique de leurs bâtiments.

Pas de lourdes rénovations, mais plutôt des « Quick wins »
La Société Générale va instrumenter 3000 de ses agences, de manière à connaître précisément leurs consommations énergétiques. La Poste Immo a engagé un audit de ses 8 millions de m². Axa, en partenariat avec Veritas, mène déjà un « green rating » de ses bâtiments, lui permettant de connaître l’état actuel de ceux-ci et le potentiel d’amélioration.
Pour les entreprises qui sont déjà passées à l’action, guère de grands plans avec des objectifs contraignants, mais plutôt ce qu’elles appellent les « Quick wins ». Autrement dit, des solutions peu coûteuses et faciles à mettre en œuvre. Du côté de la Ratp, par exemple,on a procédé à l’ installation de mousseurs sur les robinets et à la mise en place de temporisateurs. Autre « Quick win » auquel les entreprises françaises réfléchissent mais ne semblent pas prêtes à le mettre en œuvre : la suppression de l’eau chaude dans les sanitaires.
Plutôt que sur les solutions techniques, c’est sur un changement de comportement, moyen le moins onéreux, que les grands groupes semblent compter. Le directeur immobilier de la Ratp a insisté sur l’importance de mettre en place une « chaîne vertueuse comportementale » qui aille de la compacité des implantations jusqu’ à l’utilisation de chaque bureau. Il a, par exemple, regretté ne pas avoir mis plus d’argent, il y a quelques années, dans la conception d’un bâtiment commandé par la RATP à une « star de l’architecture », et qui consomme aujourd’hui 500 kWh/m²/an. Il a parlé de « grand pas », en évoquant le jour où il arrivera à faire accepter à ses collaborateurs de mettre un pull et de baisser de 1°C la température de leur bureau en hiver.

Obligation de rénover à partir de 2012
« Un bâtiment qui demain consommera 250 kWh/m²/an, ne pensez pas pouvoir le refiler à un copain ». Jean-Louis Borloo, présent aussi lors de cette réunion, a voulu encourager les dirigeants à accentuer leur engagement sur l’optimisation énergétique de leurs bâtiments en insistant sur la valeur patrimoniale. Il en a aussi profité pour rappeler que la France est « un drôle de pays, où on peut ne pas s’occuper pendant longtemps d’un problème, puis foncer pour le résoudre ».
Le « sprint » est prévu pour début 2012. Le gouvernement laisse un an aux entreprises pour se préparer à une rénovation obligatoire de leur patrimoine. Philippe Pelletier, qui pilote l’application du Grenelle dans le secteur du bâtiment, est venu rassurer les entreprises en les informant que le décret fixant les obligations de travaux dans le secteur tertiaire, prévus dans l’ article 3 de la loi Grenelle 2, n’arrivera que fin 2011. Ce texte devrait obliger les bâtiments à usage tertiaire ou dans lesquels s’exerce une activité de service public à réaliser des travaux de rénovation énergétique dans un délai de 8 ans à compter du premier janvier 2012.
Un décret visant à obliger une annexe environnementale pour les baux portant sur les locaux à usage de bureaux ou commerces de plus de 2 000 m² (article 8 -1° de la loi Grenelle 2) devrait également être publié avant 2012.

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Ijenko annonce le lancement de son service internet et mobile de maîtrise de la consommation d’énergie, de confort et de protection de la maison, à partir d’une Box et d’objets communicants à installer chez soi. Le service répond à des problématiques simples du quotidien dans une démarche éco-responsable : Comment avoir une vision claire de ses dépenses d’énergie ? Comment diminuer sa consommation et sa facture d’électricité ? Comment agir facilement pour éviter les gaspillages ? Comment s’assurer que tout se passe bien à la maison en son absence ? Ijenko apporte ses réponses.

Connaître sa consommation pour agir efficacement sur sa facture d’électricité.
Pour rendre possible son service, IJENKO a conçu de nouveaux objets communicants à faible consommation : une Box connectée à Internet, une sonde énergie (la Pulse) qui se raccorde simplement sur le compteur électrique, des prises intelligentes (les Plugs) qui mesurent la consommation électrique de ses équipements et permettent de les piloter à distance, un thermostat communicant et de nombreux autres capteurs intelligents.

La Box collecte les informations de consommation globale et par appareil transmises par la Pluse et les Plugs et les met à disposition sur le site web et mobile privé de l’utilisateur. Il est ainsi possible de mesurer l’impact lié à d’éventuels travaux de rénovation (isolation des fenêtres, des murs…) ou à l’adoption de nouvelles habitudes (baisser la température intérieure, éteindre les lumières en quittant une pièce, décaler le lancement du lave-vaisselle en heures creuses, etc).

Plus de confort et de protection pour sa maison : En rajoutant des objets communicants dans sa maison (comme des détecteurs de mouvement, d’ouverture de fenêtre et de porte, des capteurs de température et humidité ou des détecteurs de fumée et monoxyde de carbone…) il est également possible de garder le contact avec sa maison depuis son site web privé ou son téléphone portable et de piloter un appareil électrique à distance. La Box Ijenko collecte par radio l’information des objets. Elle communique avec la plateforme centrale via la connexion Internet du foyer, par Ethernet ou Wifi. Toutes les informations entre la Box et les objets d’une part et les serveurs Ijenko d’autre part sont chiffrées et l’accès au site privé web et mobile est sécurisé.

Prix et disponibilité : 3 packs (Energie, Premium et Gold) sont disponibles sur la boutique en ligne www.ijenko.com à partir de 299 € TTC. Il est possible d’ajouter des objets communicants complémentaires en fonction de ses besoins, à partir de 30 € TTC. L’abonnement mensuel au service est de 4,90 € TTC/mois, quelque soit le nombre d’objets communicants commandés.

  

  Les solutions d’affichage et de maîtise de la consommation d’énergie se multiplient dans le monde. Ijenko compte parmi ses concurrents un certain nombre de sociétsé sont certaine sont plus orientées objets, d’autres plus B2B mais la finalité des services pour le client final est à peu près la même :  Comment avoir une vision claire de ses dépenses d’énergie ? Comment diminuer sa consommation et sa facture d’électricité ? Comment agir facilement pour éviter les gaspillages ? Comment s’assurer que tout se passe bien à la maison en son absence

En Europe Ijenko compte parmi ses concurrents : Alertme (UK), DIY KYOTO (UK), MyHome247 (UK), Onzo (UK), Greenwave (DK), Plugwise (NL), Geroco (CH)

Aux US on peut citer : 4Home, Agilewaves, Control4, Controlthink, Intamac, iControl, EnergyHub, LucidDesignGroup,  oPower, OpenPeak, Tendril,

A propos d’IJENKO : http://www.ijenko.com – http://www.ijenko.com/blog  – http://www.facebook.com/ijenkonewshttp://www.twitter.com/ijenko

IJENKO est une jeune entreprise innovante, opérateur indépendant de l’internet des objets à vocation européenne, créée en 2008 et soutenue par OSEO et la Région Ile de France. IJENKO propose un service d’éco-maîtrise du foyer, pour des modes de consommation des énergies plus sobres et responsables, pour plus de confort et de protection de sa famille et de sa maison. IJENKO est soutenu par I-Source, Direct Energie et Bouygues Telecom Initiatives.

 

Ijenko annonce le lancement de son service internet et mobile de maîtrise de la consommation d’énergie, de confort et de protection de la maison, à partir d’une Box et d’objets communicants à installer chez soi. Le service répond à des problématiques simples du quotidien dans une démarche éco-responsable : Comment avoir une vision claire de ses dépenses d’énergie ? Comment diminuer sa consommation et sa facture d’électricité ? Comment agir facilement pour éviter les gaspillages ? Comment s’assurer que tout se passe bien à la maison en son absence ? Ijenko apporte ses réponses.

Connaître sa consommation pour agir efficacement sur sa facture d’électricité.
Pour rendre possible son service, IJENKO a conçu de nouveaux objets communicants à faible consommation : une Box connectée à Internet, une sonde énergie (la Pulse) qui se raccorde simplement sur le compteur électrique, des prises intelligentes (les Plugs) qui mesurent la consommation électrique de ses équipements et permettent de les piloter à distance, un thermostat communicant et de nombreux autres capteurs intelligents.

La Box collecte les informations de consommation globale et par appareil transmises par la Pluse et les Plugs et les met à disposition sur le site web et mobile privé de l’utilisateur. Il est ainsi possible de mesurer l’impact lié à d’éventuels travaux de rénovation (isolation des fenêtres, des murs…) ou à l’adoption de nouvelles habitudes (baisser la température intérieure, éteindre les lumières en quittant une pièce, décaler le lancement du lave-vaisselle en heures creuses, etc).

Plus de confort et de protection pour sa maison : En rajoutant des objets communicants dans sa maison (comme des détecteurs de mouvement, d’ouverture de fenêtre et de porte, des capteurs de température et humidité ou des détecteurs de fumée et monoxyde de carbone…) il est également possible de garder le contact avec sa maison depuis son site web privé ou son téléphone portable et de piloter un appareil électrique à distance. La Box Ijenko collecte par radio l’information des objets. Elle communique avec la plateforme centrale via la connexion Internet du foyer, par Ethernet ou Wifi. Toutes les informations entre la Box et les objets d’une part et les serveurs Ijenko d’autre part sont chiffrées et l’accès au site privé web et mobile est sécurisé.

Prix et disponibilité : 3 packs (Energie, Premium et Gold) sont disponibles sur la boutique en ligne www.ijenko.com à partir de 299 € TTC. Il est possible d’ajouter des objets communicants complémentaires en fonction de ses besoins, à partir de 30 € TTC. L’abonnement mensuel au service est de 4,90 € TTC/mois, quelque soit le nombre d’objets communicants commandés.

Les solutions d’affichage et de maîtise de la consommation d’énergie se multiplient dans le monde. Ijenko compte parmi ses concurrents un certain nombre de sociétsé sont certaine sont plus orientées objets, d’autres plus B2B mais la finalité des services pour le client final est à peu près la même :  Comment avoir une vision claire de ses dépenses d’énergie ? Comment diminuer sa consommation et sa facture d’électricité ? Comment agir facilement pour éviter les gaspillages ? Comment s’assurer que tout se passe bien à la maison en son absence

En Europe Ijenko compte parmi ses concurrents : Alertme (UK), DIY KYOTO (UK), MyHome247 (UK), Onzo (UK), Greenwave (DK), Plugwise (NL), Geroco (CH)

Aux US on peut citer : 4Home, Agilewaves, Control4, Controlthink, Intamac, iControl, EnergyHub, LucidDesignGroup,  oPower, OpenPeak, Tendril…

A propos d’IJENKO : http://www.ijenko.com – http://www.ijenko.com/blog  – http://www.facebook.com/ijenkonewshttp://www.twitter.com/ijenko

IJENKO est une jeune entreprise innovante, opérateur indépendant de l’internet des objets à vocation européenne, créée en 2008 et soutenue par OSEO et la Région Ile de France. IJENKO propose un service d’éco-maîtrise du foyer, pour des modes de consommation des énergies plus sobres et responsables, pour plus de confort et de protection de sa famille et de sa maison. IJENKO est soutenu par I-Source, Direct Energie et Bouygues Telecom Initiatives.

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